Il y a 46 photographes qui participent à Angelets de la Terra

Joan Sorolla
Joan Sorolla est né en 1956 à Terrassa (Barcelone). Il a commencé à faire des photos à l’âge de 15 ans avec le Pentacon (Contax D) de son père, un appareil qu’il utilise encore. Entre 1980 et 1983, Il s’est initié à la photographie professionnelle en publiant dans Sal Común, puis dans la revue “Popular 1” en tant que photoreporter en couvrant des concerts de rock et en réalisant des portraits d’interview. Ses collaborations sporadiques avec “Rock de Lux” et “Interviú” ainsi que la réalisation de diverses pochettes de disques datent de cette époque.   Plus tard, il axe son travail professionnel sur l’enseignement de l’histoire de l’art,  mais  sans abandonner du tout le domaine de la photo qu’il a repris intensément depuis 2010. Ces dernières années, il a fait diverses expositions individuelles (Barcelone, Céret, Granollers, Mataró, La Roca del Vallès, Lliçà d’Amunt….) et a participé à de nombreuses expositions collectives  (Barcelone, Céret, El Port de la Selva, Colera…). Il a également publié deux livres de photos  «L’affaire Miralpeix-Alsina» (2016) et «En promenant mon chien. Hommage à Keith Arnatt» (2018). Il prépare actuellement sa prochaine  exposition intitulée «Oubliés», à l’espace Tangram (Barcelone), pour décembre 2018.  
Job Vermeulen Font
Job Vermeulen Font (1993) est un photographe et journaliste installé à Barcelone qui travaille dans le monde entier. Il a commencé à travailler en tant que photographe à l’âge de 19 ans quand il a commencé ses études de journaliste à Barcelone. Il travaille les photos de sport, de mode, de produits, de publicité ou institutionnelles, et collabore également avec plusieurs agences de presse. Il a déjà pu travailler en Espagne, au Portugal, en Italie, en Pologne, en France, au Sri Lanka, en Inde, à Cuba, aux Etats Unis, à Oman, à Dubaï, à Abu Dhabi, aux émirats arabes unis, à Panama, et au Japon.
Jordi Batet
Jordi Batet a 55 ans et est de Barcelone. Il est métallurgiste de métier, c’est-à-dire qu’il n’est pas photographe professionnel mais est passionné depuis quelques années et indépendantiste depuis beaucoup plus longtemps encore. Donner à voir avec son appareil photo les moments que nous vivons actuellement en Catalogne le remplit de tristesse et d’impuissance. La photographie de rue n’est pas ce qu’il préfère, il a un faible pour la nature (les oiseaux surtout) mais il n’a pas pu rester les bras croisés devant ce qui se passait sous ses yeux.
Jordi Pujolar
Jordi Pujolar, Mataró.  Journaliste multimédia à l’Agence Catalane d’Information (ACN) depuis 2005 puis, depuis 2010, délégué aux comarques de la zone métropolitaine de Barcelone. Pendant le processus d’indépendance de la Catalogne il a couvert ces dernières années les Diades (fêtes nationales catalanes) du 11 septembre et les différentes élections au Parlement de Catalogne. A l’automne 2017, pendant les mois où la pression politique et policière était la plus forte en Catalogne, il a couvert des moments essentiels comme les perquisitions de la police espagnole et de la Guardia civil à la recherche d’urnes et de bulletins, le jour du référendum du 1er octobre ou les grèves du 3 octobre et du 8 novembre.
Jordi Ribot Puntí
Jordi Ribot Puntí (Barcelone, 1968) Journaliste avec une grand cursus universitaire, il a travaillé pour les principaux médias du pays. Il est diplômé en histoire de l’art de l’Université de Gérone. Il est également spécialiste en photo image. Il a débuté en tant que photographe professionnel en 1992, au Diari de Girona. En 1999, il fonde la Photo Art Photo Agency et est gérant jusqu’en 2012. En mars 2012, il a créé la société ICONNA Comunicació Audiovisual, en collaboration avec le photojournaliste Joan Castro. Il est professeur associé à l’Université de Vic, où il enseigne des cours de photographie et de photojournalisme. Professeur de photographie à l’EUERAM (école de production audiovisuelle et multimédia), qui dépend de l’Université de Gérone, il est professeur depuis 2004 à l’école d’art de Celrà. Il n’a jamais cessé de travailler dans la presse. Il a conçu, dirigé et publié le livre de photographies Artur Mas. Portrait d’homme et président. Toute l’équipe ICONNA a réalisé le projet Tossudament … Histoire du processus catalan. En 2010, il a remporté le prix du photojournalisme lors de la première édition des Carles Rahola Local Communication Awards. L’année 2017 remporte à nouveau le prix du photojournalisme lors de la huitième édition des Carles Rahola Awards pour la communication locale.
Jordi Secall i Pons
Jordi Secall i Pons.   "En tant que photographe, ce qui m’intéresse, ce sont les thématiques qui nous affectent comme société. J’ai photographié Barcelone pendant la spéculation urbaine du début des années 2000 quand les squatters, principaux critiques du “système”, étaient diabolisés par la presse officielle. Je l’ai photographiée en 35 mm et en noir et blanc. Puis je suis passé à la vidéo et enfin, maintenant, avec la révolte catalane, à la couleur et au numérique. Cette lutte pour l’indépendance est un rêve que je n’aurais pas pu prévoir il y a quelques mois. J’ai essayé, en respectant certaines limites, de photographier les moments les plus important, de la « révolution des sourires » de Muriel Casals et aussi ceux qui m’ont le plus inspiré. C’est une révolution éminemment pacifique qui fédère, comme toutes les révoltes, tous types de personnages et de classes sociales.  J’ai laissé de côté le spectaculaire pour privilégier une représentation plus humoristique et un angle plus fidèle à l’esprit de ces « sourires ». Même s’il s’agit de ma propre révolution, je la regarde non sans surprise, en particulier cette discipline catalane, cette radicalité pacifique et stricte à la fois, qui défend la démocratie bien au-delà des drapeaux. En ce moment la confrontation avec l’Espagne est bloquée. Nous nous nous sommes peut-être trop vite réveillés. Malheureusement, les prisonniers et les exilés politiques sont un lest de réalité trop lourd et notre lutte s’y épuise. De ce fait la lutte pour la république Catalane est reléguée au second plan. Continuera-t-elle ?"
Jose Manuel Gutiérrez Caballero
José Manuel Gutiérrez Caballero est un photojournaliste de Vic né en 1977 travaille à NacióDigital depuis sa fondation en 1996, et fait partie de son conseil d’administration. Parallèlement à la photo, il assume en tant que directeur des Nouveaux Formats des fonctions de programmateur et de responsable stratégie web et analytique. Associé et directeur technique de Sobrevia.Net, consultant en stratégie numérique.
Lluís Brunet
Lluís Brunet i Palou (Sabadell, 1954)   Il a commencé à publier des photographies de presse en 1969, en collaborant avec des médias comme la Vanguardia ou le Correo Catalan, et en 1976 il a ouvert son propre studio. Dès lors il s’est spécialisé dans la photographie publicitaire, le photojournalisme et la couverture de mouvements sociaux, tout en devenant un des pionniers de la photographie numérique et des technologies de traitement et d’envoi d’images. En 2009, il a fait une exposition rétrospective à l’Académie des Beaux-arts de Sabadell, sous le titre “Lumière, image et éthique » Dans la décennie 2010, il s’est concentré sur le suivi exhaustif du processus indépendantiste catalan. En 2011 il a publié What catalans want, édité par Liz Castro, dans lequel Toni Strubell a fait 35 interviews de personnages catalans pour faire connaître au monde la réalité catalane. En 2017, il a reçu le Prix Dignitat 2016 pour son engagement social envers le pays, en même temps que les photojournalistes Jordi Borras et Roser Villalonga.
Marc Rovira
"Il y a presque sept ans, j’ai commencé l’aventure de devenir un petit entrepreneur et de faire avancer un projet personnel autour de la photographie. Après quelques années d’expérience dans des entreprises privées du secteur de la communication, j’ai estimé qu’il était approprié de pouvoir améliorer mes compétences et mes connaissances et de marquer de nouveaux objectifs dans le monde de la photographie. Cela fait des années que la crise est difficile et difficile, mais pour l’instant, je poursuis avec le désir d’incorporer dans mon portefeuille de clients de nouvelles entreprises intéressées à faire progresser leur entreprise grâce à une communication visuelle précise. Je collabore actuellement régulièrement avec le journal ARA, mais ce site vous permet de découvrir certains des emplois et projets sur lesquels j’ai travaillé et de voir comment mon imagination peut correspondre à vos besoins professionnels ou personnels et devenir mon prochain défi professionnel." http://www.marcrovira.cat/ 
Marcelo Aurelio
Marcelo Aurelio Buenos Aires, 1967. Après une formation d’artiste visuel, il commence ses études aux beaux-arts dans les années 80, happenings, ateliers de peinture, dessin, etc. Depuis 2003 il réside à Terrassa, près de Barcelone. La même année il troque ses pinceaux contre un appareil photo et travaille depuis lors la photographie en réalisant des expositions et des projets collectifs. Il est le co-fondateur de la communauté Barcelone Photobloggers et du collectif de photographes Caja Azul, groupe de pensée sur la photographie
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