Cliquer sur un logo pour visiter la page de la mairie :

Les Angelets de la Terra ont mené des actions dans 184 communes depuis 2001

Par ordre alphabetique:
A  | B  | C  | D  | E  | F  | G  | H  | I  | J  | K  | L  | M  | N  | 0  | P  | Q  | R  | S  | T  | U  | V  | W  | X  | Y  |
Argelers - ROSSELLÓ
Argelès-sur-Mer (Llibre Blanc de Catalunya Nord)
10 383 habitants en 2017. La première mention du nom remonte à 879 en tant que Villa de Argilariis. Le nom est ensuite repris au Xe siècle sous les formes Argileria et Villam Argelariam. On rencontre ensuite au xiie siècle Argilarium et Argelers, puis aux XIIIe et XIVe siècles Argilers et Argillers. Enfin, on trouve au XVIIe siècle Argellés et Argelès. Le 23 mai 1840, Argelès prend officiellement le nom d'Argelès-sur-Mer. Déjà citée en 879, puis plus tard en 981 comme étant une des limites des possessions de l'abbaye de Saint-Génis-des-Fontaines, la ville d'Argelès est tout d'abord sous la dépendance directe des comtes du Roussillon, puis passe ensuite entre les mains des rois catalans puis aragonais. Elle est au centre des affrontements entre les rois de Majorque et ceux d'Aragon, aux XIIIe et XIVe siècles. Le 29 juin 1298, un traité de paix y est signé entre Jacques II de Majorque et Jacques II d'Aragon. Le traité ne dure guère, puisque le 21 mai 1344 la cité est assiégée par Pierre IV d'Aragon, et finit par capituler le 6 juin. D'autres épisodes militaires viendront encore troubler le calme de la ville ; ainsi, elle est assiégée par Louis XI dans la seconde moitié du XVe siècle. En 1939, à la fin de la guerre d'Espagne, des dizaines de milliers de républicains franchirent la frontière et furent enfermés par les autorités françaises au camp de concentration d'Argelès-sur-Mer, situé juste au nord de la plage d'Argelès. Cette situation, qui dura de nombreux mois, est encore bien présente dans l'esprit des habitants d'Argelès. Ce camp devint durant la Seconde Guerre mondiale un Centre de rassemblement des étrangers avant d'être transformé en septembre 1941 en chantier de jeunesse. Depuis le début du XXe siècle, la population d'Argelès est en constante augmentation, la ville s'agrandissant entre village et plage et vers la plaine, en respectant le massif des Albères. Le recensement de 1999 montre une impressionnante augmentation de 2 000 habitants en 9 ans. Cette croissance est soutenue par le tourisme, la ville d'Argelès accueillant des milliers de touristes sur l'ensemble de son territoire depuis les années 1950.
Arboçols - CONFLENT
Arboussols-Marcevol (Llibre Blanc de Catalunya Nord)
124 habitants. Arboussols est un pittoresque village, au coeur d'un écrin de garrigue entouré d'innombrables et ancestrales terrasses de culture.Sa situation privilégiée entre la méditerranée et la haute montagne lui donne un attrait tout particulier et la vue panoramique qui l'entoure ne laisse jamais personne indifférent.Séparé du Canigou (2784 m) par la vallée de la Têt qui coule 300 m en contrebas, ce village a su exploiter ses innombrables qualités touristiques après que les vignes et les troupeaux de chèvres eurent commencé à se faire plus rare. Les premières mentions du lieu sont Arbussolas en 950 et Arbuzolos en 968.Marcevol, Marcèvol en catalan, est mentionné dès 1011 sous le nom de Marceval8. Étymologie Le nom d'Arboussols vient du latin arbutĕŏlos, diminutif de arbŭtĕos, venu de arbutum, ‘arbouse’.Marcevol proviendrait du nom de la plante médicinale Helleborus foetidus, du latin marcĭbĭlis. Histoire Depuis le xe siècle et jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, Arboussols est une dépendance de l'abbaye Saint-Michel de Cuxa8.La commune de Marcevol est rattachée à Arboussols le 30 janvier 1822. Lieux et monuments Semi-dolmen de la Llosa del Cortal dels Polls.Église Saint-Sauveur d'Arboussols, église du xiie siècle et clocher postérieur ; remaniements importants au xixe siècle.Prieuré de Marcevol (XIIe siècle). L'église a été classé au titre des monuments historiques en 184044. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy.L’église Notre-Dame des Escaliers de Marcevol ou église Nostra-Senyora-de-Las-Grades. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1973.L'ancienne église paroissiale Sainte-Eulalie, style roman, aujourd'hui désaffectée, se dresse toujours à proximité du village.Les anciens moulins de Nossa et les bains de Nossa, mentionnés dès le xiiie siècle, ont été détruits lors de la construction du barrage du lac de Vinça.
Aiguatèbia i Talau - CONFLENT
Ayguatébia-Talau (Llibre Blanc de Catalunya Nord)
Incitation à ne pas parler catalan à l'école d'Ayguatébia-Talau. Toponymie Formes anciennes:Le nom d'Ayguatébia apparaît en 958, sous la forme d'Aqua tebeda. On trouve en suite Aquatepida en 959, Villa Aque tepida au XIe siècle, Aiguetevia en 1392, et Aiguetebia et Ayguatebia à partir du XVIIe siècle. La graphie en catalan moderne est Aiguatèbia, mais la graphie traditionnelle, Ayguatèbia est recommandée. Les différentes nominations de Talau sont Villa Talatio en 874, Talacho en 876 puis Talazo, Talaz, et Talaxo au xe siècle, et enfin Talau à partir du XIIIe siècle. Dans les recensements de 1358, 1365, 1424, 1720 et 1767, le lieu est cité sous le nom de Vall de Feu. En 1789, figure la mention Laval delfeu, Talau et Moncels. La commune de Talau est dénommée La Vall del Feu à la création du département en 1790. En catalan moderne, le nom de la commune est Aiguatèbia i Talau. ÉtymologieLe nom Ayguatébia provient de la locution bas-latine agua tebeda, signifiant « eau tiède ». Ce terme prend racine dans l'existence d'une source d'eau tiède sur le territoire de ce village. Le nom de Talau vient sans doute d'une racine pré-latine, Tal ou Tala, désignant un front de colline ou un bord de falaise, et correspondant à l'emplacement du lieu, situé sur un plat dominant la vallée du Cabrils. Ce radical Tal suivi du suffixe -atium a donné Talatium, devenu Talatso à l'époque romane. Par la suite le -tium latin et le -ts roman ont évolué en w, processus courant en catalan, à l'instar par exemple de Palatium en Palau. HistoireAyguatébia fusionne avec Talau le 1er janvier 1983 pour former la nouvelle commune d'Ayguatébia-Talau par arrêté préfectoral du 22 décembre 1982. La commune adhère à la Communauté de communes Capcir Haut-Conflent par arrêté préfectoral du 23 novembre 2006.
Angles (Els) CAPCIR
Les Angles (Llibre Blanc de Catalunya Nord)
ToponymieEn catalan, le nom de la commune est Els Angles50. Du latin Angulus, qui veut dire angles auquel on a rajouté l'article Ille, Els en catalan. Le lieu est mentionné, pour les premières fois, sous les noms de sanctus Salvador de Angulis en 908 puis alodium de Angulas en 965. L'ancien hameau de Balcère (Vallsera en catalan, Vallserra sur la carte IGN) aujourd'hui disparu, est mentionné pour la première fois en 1011 : vallem Ursariam, ou la vallée des ours. La forme s'est ensuite contractée en Valsera, Vallsera, parfois Valserola. HistoireLa présence de tessons de poterie recueillis lors de travaux de construction du lotissement de La Solana prouve l'occupation du territoire à une époque préhistorique ou protohistorique. Le territoire des Angles est donné en 965 par Sunifred II de Cerdagne, comte de Cerdagne, au monastère de Saint-Michel de Cuxa. En 1181, le roi d'Aragon autorise l'abbé de Saint-Michel de Cuxa à fortifier ses possessions. Les habitants abandonnent alors l'ancien village, construit autour de l'église Saint-Sauveur, pour venir s'installer dans l'enceinte des fortifications du château. C'est le lieu du village actuel, situé sur une légère éminence et à 300 mètres de l'ancien village. Le château est construit à partir d'une ferme forte, le mansus de Podio, transformée et fortifiée (castrum de Podio Angulorum in parochia Sancti Salvatoris). L'ancienne église Saint-Sauveur est située à 400 m au nord-est de l'église actuelle, construite dans les années 1860 à partir d'elle. Le hameau de Balcère (Vallsera en catalan), situé au pied de sa petite église Sainte-Marie, appartenait depuis 1011 à l'abbaye Saint-Michel de Cuxa. En 1312, les troupes du comte d'Armagnac pillent le Capcir et en particulier Balcère, mais c'est surtout entre 1347 et 1350 que la peste noire emporte toute la population du village. Celui-ci se repeuplera un peu, et en 1701 l'abbaye de Cuxa cède le territoire aux Angles pour la somme de 450 écus. Le village n'est plus habité du tout à partir du xviiie siècle. Le 1er janvier 2014, la commune intègre la Communauté de communes Capcir Haut-Conflent.
Agullana - CATALUNYA SUD - Alt Empordà
Agullana (Collectif de municipalités catalanes sans frontières)
Entourée par le magnifique parc naturel des Albères et la vallée de Guilla, Agullana séduit de par ses charmes qui font d'elle une destination très intéressante : elle bénéficie non seulement de milieux naturels, parfaits pour faire du sport et de la randonnée, mais aussi de monuments mégalithiques ainsi que d'une architecture, conjuguant éléments médiévaux et constructions modernistes.   Il convient de souligner un élément assez particulier : les dernières réunions du gouvernement républicain ont eu lieu à Agullana avant que celui-ci s'exile, de sorte que cette ville soit la dernière capitale de l'Espagne républicaine.   Agullana fut un centre important de l’industrie du liège; il semble que cette localité ait été la première à exploiter cette ressource naturelle, vers 1750, et au début du XXe siècle, elle accueillait déjà plus de 40 usines se consacrant à cette activité.   L’ermite de style roman de Santa Eugènia d’Agullana est une église qui se trouve au milieu d’une forêt de chênes-lièges d’une grande beauté. Les habitants lui vouent une grande dévotion. Depuis sa construction, l’ermite a fait l’objet de nombreux travaux de reconstruction et de restauration ; les derniers remontent aux années soixante-dix à l’occasion desquels la maison de l’ermite a été aménagée en colonie de vacances. Selon la tradition, le corps de Santa Eugènia avait été caché dans des broussailles où se trouve aujourd’-hui l’ermite, et il disparut à jamais pendant la Guerre Civile espagnole.   L’église Santa Maria d’Agullana, située sur la place Major du village, constitue le monument le plus représentatif d’Agullana. Construite aux XIe et XIIe siècles, elle possède une nef très solennelle. Elle comprend également une abside semi-circulaire, un porche avec cinq arcs en plein cintre accolés et un mur-clocher avec cinq belles cloches.
Resultat de la recherche : {{ itemarecherchesauvegarde }}

Actualités :

Aucun resultat
{{resultatactualita.titre}}


Musiciens :

Aucun resultat
{{music.titre}} - {{music.nom}}


Photographes :

Aucun resultat
{{fotoperiodiste.titre}}


Poêtes :

Aucun resultat
{{poetes.titre}}


Villes :

Aucun resultat
{{ajuntamen.titre}} - {{ajuntamen.ville}}


Agenda :

Aucun resultat
{{agenda.titre}}